Bialot

A la vie !

Siècle rouge
Déporté, libéré par l’Armée Rouge, ouvrier dans le Sentier, Joseph Bialot arrive assez tard (55 ans) à l’écriture ; son premier roman, « Le salon du prêt à saigner », obtient le grand prix de la littérature policière ; il enchaîne avec plusieurs polars fameux ; puis à la fin des années 90, il se lance dans une épatante fresque romanesque en deux livres ( « Le semeur d’étincelles » et « La gare sans nom ») sur l’histoire de la famille Mongeon de Belleville, de 1913 à 1948 ; il y met en scène « les réfugiés, les interdits de vie comme les juifs, les tricards de la pensée tels les communistes, les artistes sortis de l’académisme, les philosophes du chemin de travers, les écrivains de la marge et tous les béni-non-non ». Pierre Fourniaud, de « La manufacture de livres », a eu la bonne idée de republier en un seul volume (A la vie !) cette formidable épopée.

La manufacture de livres



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