revue septembre 2022

Conférence Université été et article revue septembre 2022

Décomposition/Recomposition
La droite républicaine : une situation/crise paradoxale

En déclin, devenu un parti de notables, LR profite cependant de l’affaiblissement du pouvoir macronien pour rebondir.

I.
On se souvient peut-être de cette affirmation de Valérie Pécresse lors de son premier meeting de campagne à la Mutualité le 11 décembre 2021 : « J’ai une bonne nouvelle, la droite est de retour ! » Cruel rappel alors qu’à la présidentielle, la droite « républicaine » LR (« la droite résiduelle » écrit, vipérin, « L’Express ») a échoué sous la barre des 5%. Déjà lors des européennes de 2019, cette droite était passée de 20 à 8%, et on avait parlé de « claque ». Son nouveau recul à la présidentielle (le troisième échec successif à ce type de scrutin) signe une mauvaise campagne et un siphonnage par le vote utile mais pas que.

Affaiblie, minée par le doute, déconstruite par Macron, la droite est aujourd’hui durablement affectée. Cette crise se manifeste, entre autres, par un certain éloignement du parti avec ses principaux leaders, très tentés par le macronisme ( on pense à Woerth, à Abad mais ausssi à Nicolas Sarkozy, à François Copé, avant eux à LeMaire ou ministre intérieur ? …).
Cette « désertion » des chefs est d’autant plus importante qu’à droite, le culte du leader (on aime parler chez eux d’« incarnation ») est fort.

Géographiquement, on a constaté, en mai dernier, un certain repli de son influence sur les campagnes, les villes moyennes, des banlieues. LR disparaît de l’Essonne, du Val d’Oise, des Yvelines, est à la peine en Pays de la Loire, en Occitanie.
Des grandes villes ? Paris ?
Dans le même temps, au niveau européen, la droite pèse de moins en moins. Ainsi, elle a perdu, début juin, sa place de vice-présidence au sein du PPE (Parti populaire européen), un nouveau camouflet pour elle (8 élus sur 176 au PPE).

II.
La droite refuse naturellement la thèse (macronienne) des trois blocs (le centre et deux extrêmes). Et son score, aux dernières législatives, s’il marque un recul attendu, témoigne aussi d’une certaine résistance, notamment de ses sortants. On se rappelle aussi que la droite garde une place significative dans les institutions. Elle dirige 100 communes de plus de 30 000 habitants (sur 279), la moitié des conseils départementaux (46 sur 96), 6 régions sur 17 et domine largement le Sénat par exemple. Sur le site de LR, Christian Jacob se vante en affirmant que son parti « détient 60% des exécutifs ». Cette formation revendiquait 150 000 adhérents fin 2021.

III.
Si l’opposition droite/gauche est une constante dans l’histoire de la vie politique française, la droite longtemps a eu des difficultés à constituer un parti dominant. Sous la IIIe République elle subit la concurrence du parti radical ; elle se divisa sous l’Occupation entre partisans de Vichy et fidèles à De Gaulle. Sous la IVe République, c’est le centre democrate-chretien MRP qui supplanta le RPF. Mais à partir de 1958, le gaullisme lui permit d’imposer sa place majeure à droite sous différents sigles : UNR (1959), UDR (1968), RPR (1976), UMP (20O2), jusqu’à l’actuelle LR (2015).

Après 1983, on peut presque parler de mitterrandisation de la droite car le tournant liberalo-européen alors du pouvoir socialiste va ébranler aussi cette famille politique de deux manières. D’une part, elle va se rallier à la doxa libérale (on parlera avec raison de « pensée unique »), négligeant ses propres repères (rôle de l’Etat, poids des institutions françauses, des services publics par exemple) ; d’autre part, cette orientation (austéritaire) va provoquer très rapidement l’apparition de Le Pen (11% aux européennes de 1984), lequel va installer une concurrence durable sur sa droite.
Chirac accentua ce glissement européiste (avec Raffarin et l’UMP). Nicolas Sarkozy tentera de redresser la barre droitière mais, malgré ses envies et ses coups de gueule, il n’inversera pas vraiment la tendance.
Ce faisant, la droite a peu à peu perdu de son identité ; son implantation populaire, acquise sous le gaullisme, s’est rabougri ; elle tend à devenir un parti de cadres, d’élus.

IV.
Si la droite est en perte de vitesse, l’idée d’une droitisation de la société française est pourtant martelée depuis des années.
(nous en avions déjà parlé à la précédente université)
La bibliographie sur le sujet est imposante, entamée en 2002 avec le pamphlet de Daniel Lindeberg « Le rappel à l’ordre » ; jusqu’au dossier du Nouvel Obs de novembre 2021 signé par l’universitaire Frederique Matonti, autrice de « Comment sommes nous devenus réacs ? » Sans parler de Philippe Corcuff, « La grande confusion. Comment l’extrême droite gagne la bataille des idées ».

L’affirmation que la droite a gagné la bataille d’idées est presque devenue un lieu commun ces derniers temps. Nicolas Sarkozy se vantait même d’avoir mené et gagné la bataille pour l’ « hégémonie culturelle », citant abondamment Gramcsi.

Bien sûr certaines positions de droite sont solidement installées (individualisme, concurrence, entreprenariat, autorité, élitisme, sécurité, une conception étroite de la République…). Certains thèmes (lutte contre assistanat, fraudes sociales…).
Et certes il faut aussi prendre en compte ici le poids (persistant) de l’extrême droite. Mais la notion de droitisation du corps social est discutatble.

La droite est en fait en difficulté sur deux de ses « mantras », fortement, majoritairement contestés dans la société : le conservatisme sociétal et le libéralisme économique.
Longtemps, le gaullime rima avec paternalisme, machisme, autoritarisme ; c’était dans l’air du temps, dira-t-on. On se rappelle la résistance violente d’une large partie de l’UDR (1975) à la loi Weil par exemple. La droite reste incertaine, mal à l’aise à l’égard du féminisme notamment. Sa vision globalement réactionnaire des mœurs est aujourd’hui minoritaire dans la société. (Ce qui n’exclut pas d’éventuels retournements, voir la force du mouvement contre l’avortement dans le monde, de la Pologne aux Etats-Unis).
Des mouvements conservateurs comme la Manif pour tous ne se sont pas durablement imposés. Le rapprochement passé de LR avec ces expressions continue de lui coûter aujourd’hui ( on aurait paraît-il échappé de peu au printemps dernier à une première ministre LR, Mme Vautrin du grand Reims, finalement éclipsée en raison, paraît-il, de ses sympathies pour ce courant).
La droite nourrit vigoureusement la peur du mouvement woke mais cela tient plus de la posture, du fantasme, de la propagande contre un ennemi caricatural et caricaturé que de la necessité politique.

Elle est pareillement en difficulté sur la question du libéralisme économique (libéralo-européiste) auquel elle s’est ralliée. Ce mode de gestion de la crise est largement contesté. Et les aspirations au mieux-être social, à la solidarité, le refus des inégalités, des injustices, l’envie de participer sont des demandes « antilibérales » ( !) largement majoritaires dans l’opinion.
Le libéralisme rime aussi avec le recul de l’Etat et de ses institutions alors que le logiciel de la droite proposa, longtemps, un Etat fort, interventionniste et un rapport direct au peuple via le référendum par exemple, qui était un élément important de la vulgate gaulliste ( de Gaulle est parti sur un référendum perdu en 1969).

La droite n’a pas voulu entendre les critiques internes qui la traversaient (voir le positionnement de Philippe Seguin) dès le référendum de Maastricht de 1992 puis lors du référendum européen de 2005.

V.

Aux élections législatives, la droite enregistre 13% au premier tour et passe au final d’une centaine d’élus à 61.
Elle se rassure en disant qu’elle s’attendait à pire. ( Elle présentait 543 candidats dont 66 circonscriptions où le député LR sortant se représentait et 25 où il ne se représentait pas). Il est vrai que son implantation locale lui a permis de sauver des meubles.

Ses candidats ont mené des campagnes de terrain, sans référence à « Paris » ni à des « chefs » (sauf Wauquiez et Bertrand, invités dans une dizaine de départements), souvent même sans utiliser le logo LR.
Au second tour, elle a donné l’impression de ne plus savoir où elle en était. Quand elle était battue sur ses terres, elle a le plus souvent refusé de faire barrage à l’extreme-droite, ce qui a fait dire au communiste Bruno Nottin, le tombeur de Jean-Michel Blanquer dans la 4è circonscription du Loiret : « On en revient aux années 30, plutôt Hitler que le Front Populaire. Les droites ont perdu leurs repères républicains ».

LR perd son titre de premier groupe d’opposition à l’Assemblée et avec lui la présidence de la commission des finances (et un poste de questure).
Toutefois, comme le note le politologue Jérôme Jaffré, comme il n’y a pas de majorité stable de soutien à Macron, le rôle des députés LR est de fait devenu plus important : « Paradoxe de la politique où l’échec électoral aboutit parfois à un poids politique accru ».

VI.
La recomposition de la droite, famille fracturée, n’en est qu’à ses débuts. Il est peu probable qu’elle retrouve demain son lit traditionnel.

On distingue dans ce courant presque le jeu des sept familles : gaullistes, centristes, liberaux, conservateurs, démocrates-chretiens. Les débats internes d’après législatives sont de deux ordres. Il y a d’abord la question du positionnement face à Macron. Certains pronent une forme d’alliance avec le pouvoir (Copé, Sarkozy), d’autres, la majorité, entendent être une force de franche opposition. Puis LR est travaillé par des interrogations plus existentielles.
Outre une guerilla générationnelle, ces discussions opposent un bloc qui évoque le gaullisme social, le retour au peuple, l’attention (affichée) aux plus faibles avec des gens comme Aurélien Pradié, jeune secrétaire général, bien réélu dans le Lot, sans doute aussi Xavier Bertrand, Christian Jacob, François Baroin, Gerard Larcher ; face à un bloc plus soucieux, dit-on, par les « questions regaliennes » : Laurent Wauquiez, Bruneau Retailleau, David Lisnard, Eric Ciotti, Nadine Morano, Julien Aubert, François-Xavier Bellamy. Handicap de ce dernier groupe : il a conduit LR à la défaite aux européennes de 2019.
Chez Wauquiez et les siens, on aime parler défense de la civilisation, racines chrétiennes, frontières, souveraineté, ordre, des thèmes assez proches de celles de Zemmour.

François Xavier Bellamy, eurodéputé LR, une des « têtes » des Républicains, a été chargé par le PPE (la formation supranationale de la droite européenne), de « travailler sur l’avenir de la droite » (Figaro du 31 mai), preuve que cette question existentielle taraude toute la droite européenne.
Il résume l’esprit de ses propositions dans cette expression : « Pour une politique de la transmission », une phraséologie de notaires, d’héritier.

V. Le parti

Le risque pour le parti LR, c’est qu’il cesse d’être un grand parti national pour devenir un parti de notables. Son avenir va grandement dépendre du choix du nouveau chef qu’il va se donner car à droite « l’incarnation est une question majeure. Tout sera tranché par celui qui sera choisi pour porter notre projet » ( a dit Olivier Marleix, vice président).
On a évoqué la piste Wauquiez ; son intervention du 7 mai est symptomatique : « Tout tangue, tant mieux ! Tout est à terre, tant mieux ! Ceux qui nous ont trahis sont dehors, tant mieux, enfin, ils nous ont fait tant de mal. Nous allons devoir tout repenser, tout rebatir, de haut en bas et ça commence aujourd’hui ».
Mais refusé s’occuper du parti, il se préserve dans perspective 2027

reste Eric Ciotti (du même bord) est sur les rangs, il considère représenter un quart du corps électoral de droite ; aux législatives, il a bénéficié d’une alliance de fait avec Zemmour (qui n’a pas présenté de candidat dans sa circonscription).

Xavier bertrand>parti> »nous France »

Alors, explosion ou refondation ?
Les deux hypothèses les plus souvent avancées peuvent se résumer ainsi :

*un retour à des fondamentaux gaulliens, soit un Etat fort, la priorité donnée aux institutions (et au référendum), la référence à la question sociale. Le nom iconique de Séguin revient souvent. Dans le même ordre d’idées, on parle de la reconfiguration d’une droite autoritaire (illibérale, proche du « modèle » hongrois).

*l’union des droites ? c’est ce qu’ont réussi les Britanniques ou les Espagnols (en partie). Soit à terme une convergence LR-RN-Zemmour.
Peut-être via une solution à l’allemande ( la CDU/CSU), c’est à dire l’association dans une même formation de deux partis distincts.

On peut aussi se dire que la vie politique peut se passer durablement d’un parti dominant de droite, c’est déjà arrivé sous la République.
Des gourous de LR font aussi le pari que le macronisme ne survivra pas à Macron et que la question de la recomposition (et du retour) de la droite se reposera alors. Le problème, c’est que des gourous du macronisme font le même pari, derrière Edouard Philippe cette fois (et Horizon).

BILAN SESSION PARLEMENT

Même philosophie LR/Larem loi libérale dite (pouvoir d’achat) >politique déjà très à droite se droitise encore
>refus salaires, refus superprofits et guerre aux pauvres
notamment nouveau plafond pour defiscalisation des heures sup>fleur patronat pas cotises audela 35h et rachat des rtt>autant attak 35h

Surenchère antisociale
groupe LR Sénat (retailleau) >réduire revalorisation RSA (de 4% à 3,5%), ce qui entre () signifie baisse de 2,90 euros par mois pour les allocataires !

RSA=575 euros/moi
Culot de dire : »ayant été président de département je sais que les allocataires du RSA peuvent s’y complaire » !

Même groupe proposera retirer prime de rentrée de 100 euros à ceux pas en activité>4 millions personnes (étudiants, tsa, apa)
De nouveau rejeté !

Division (nouvelle) sein des LR entre « sociaux » et « casseurs »

Droite a voté loi pouvoir achat (comme rn) et budget rectificatif (rn abstenu)

LR se vante joué « rôle décisif » et être « la seule opposition utile »

La droite est face à un vrai défi. Dans ses rangs on rappelle parfois cet ordre de mission du général de Gaulle au colonel Pierre de Chavigné : « Votre mission commence. Elle est, comme vous le sentez, capitale. Il s’agit de faire beaucoup avec peu et en partant de presque rien. »

GS

ENCADRE

LE CAS ZEMMOUR

Par bien des aspects, Eric Zemmour et son parti « Reconquête » se situent à l’ultradroite : voir sa doxa identitaire, ses positions sur le « grand remplacement », sur Vichy, l’islam, les musulmans, la France « créolisée », sa rhétorique de guerre civile (« mieux vaut se battre avec les mots que dans la rue »), etc… Mais dans le même temps, Zemmour semble avoir plus de points communs avec la droite dite classique (idéologique, sociologique, politique) qu’avec le mouvement de Le Pen, auquel il reproche de donner trop d’importance aux questions sociales au détriment de l’enjeu national, qui est pour lui absolument prioritaire. Un accord de fait existe par exemple entre Zemmour et une parie de LR (Ciotti).

Le parti de Zemmour est soutenu plutôt par une bourgeoisie urbaine et cultivée ( féru d’Histoire tendance « pompier », Zemmour a l’art de mettre Bonaparte sur le pont d’Arcole dans la plupart de ses interviews), une bourgeoisie qui vote ordinairement pour les « Républicains ». Lui même se réclame « héritier du RPR » (le parti gaulliste de 1976 à 2002, avant sont virage européo-centriste). Il a fait ses meilleurs scores dans les « beaux quartiers » et plaide avec insistance « pour une alliance avec une partie de la bourgeoisie pour défendre la France et conquérir le pouvoir ».
Cette droite nationaliste a été donnée un temps à 16% ( on la voyait même dépasser Le Pen ; c’était juste avant le déclenchement de la guerre en Ukraine) ; elle exprime un courant important (contre la mondialisation et l’immigration) et probablement durable.
Mais l’échec des législatives (notamment la candidature de Zemmour à St Tropez) contrarie ses projets.

Le parti « Reconquête », qui se serait structuré en quelques mois, entend se présenter à toutes les élections (les européennes de 2024 sont particulièrement ciblées) et constituer « une école de pensée, un lieu de formation ».
L’idée d’un rassemblement de toutes les droites, que martèle Zemmour, est un thème encouragé par sa conseillère Sarah Knafo, elle-même issue de la droite souverainiste (tendance Henri Guaino).

G.S.

PS : Les citations d’Eric Zemmour sont extraites d’un grand entretien donné au Figaro Magazine du 20 mai 2022.

AJOUTER ACTUALISATION
été 2022 : premiers pas des L.R.

*LR relégué 4e place, angoisse ;confronté ligne le pen=agir, faire entendre, gagner respectabilité

*quelle digue si on vote comme eux ?
*crainte ringardisé
*LR vote comme Macron :quelle visibilité ? groupe rn plus iscipliné que LR ; absence de chefs
*LR « bouée de sauvetage »
*loi retraite revue…
*Bellamy, Fréquence protestante : « la droite c’est le tempérament qui, dans le monde, regarde d’abord ce qui doit être transmis »
*sénatoriales septembre 23 ; européennes 24
*rapports larcher/braun-pivet (lettre musclée »*LR « relations de confiance » avec le pouvoir ?
*Italie union des droites :fratelli 25 ligue 11 et berlusconi 7
*ciotti et la cravatte
*ciotti=distance zemmour (juifs/petain)
*on a des pbs depuis 2012 (ciotti)*alliance LR/Macron
*Ciotti prêt à relever défi présidence LR ; le même : faut définitivement tourner page Sarkozy
*aurane reihanian (jeune pro wauquiez) appelé 24 juillet la présidente LR à dissoudre parti « pour lancer une nouvelle offre politique »
*joue constructifs…
* »Les LR s’imposent aujourd’hui comme l’assurance-vie de la minorité présidentielle » (Ménagé, RN)
*après out Wauquiez, reste : retailleau, bellamy, barnier, juvin, othman nasrou, david isnard

* »…un groupe LR partagé en trois tiers, entre vote favorable, abstention et opposition »
*taxes sur les superprofits : LR contre (+RN+12 macronistes ?)
*Guillaume Kasparian, deputé macroniste, président Commission affaires économiques : « Avec LR, on ne va pas se mentir, on partage la même philosophie sur le travail et les entreprises ».
*prix essence 1,50 euros ?
*député Alexandre Vincenet (plus macro compatible ?) comme philippe juvin ; pradié « social » et marleix « libéral »
*maire de Beauvais (ex LR)= « ces gens-là » pour homos
*wauquiez pas candidat direction LR (message 7 pages sur facebook 17 juillet)>vise 2027 ; fragilise LR ? »travailler avec des personnes aux parcours différents, d’où qu’elles viennent »=RN
*exemples de liens/passerelles : on a fait sérieux pas dans rapprochement droite/ext droite
*taxer superprofits
*groupe fragilisé, pas sentiment unité, chacun pour soi ; refus Wauquiez accelere déclin ?
*luc ferry pousse…

Cf notamment « A droite, un test pour l’unité du groupe LR à l’Assemblée », Le Monde, 14/7



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