Ode bureaucratique

24 mai 2002/ Compliment : La galerie

Ainsi donc s’achève /une histoir’ de la com’ !
Ah que ! mon cœur se serr’ / On n’verra plus ces pommes ?
D’un côté c’est pas mal / Y en a marre des croutons
D’un autre plan c’est dommage/ Y z’étaient plutôt bons
Remarquez y’avait d’tout/ Des drôles de zigotos
Je pense au Jean Louis/ avec tous ses flutiaux !
A Lise l’escaladeuse/ notre petit soleil
A Bernard de Dassault/ dit la carte vermeille
A l’autre Jean Louis/ avecque ses roll(ai)r
Ou encore à un pote/ qui s’appelait Nasser
A Suzy d’Limousin/ et tous ses sans papiers
Ann’q’avait toujours l’air/ à moitié réveillée
Marc qui s’réveillait pas/ Venait pou’ l’déjeuner
Et Chailloux l’internaute ; Marie Pierre en beauté
Simon, l’Lelouche du pauvre/ toujours dans sa piscine
Ou encore not’denrée/ et surtout Geraldine
Jérôme et ses tréteaux/ ses panneaux, ses sucettes
Et puis le grand Trichet, et son air pompette
Et encore ces anciens/ ces vestiges d’la propa
Mathilde et Persiani/ Domenech pourquoi pas
Y eut aussi le gros Diard/ sans parler de l’Eloire
On a collectionné/ dans l’secteur quelques gloires

Et puis y’a l’parigot/ Notre maîtrE à tous
Le despote, le tyran/ le sueur de burnous
Que retiendra l’histoire/ de sa v’n’ue à Fabien ?
Qu’il a loupé son coup/ un rêvE néronien !
Cet homme avait un plan/ méthodique, insensé.
J’ose à peine dire ici/ ce qu’était son projet.
Oïez bien braves gens/ Ce que l’Autre il voulait :
Faire avec notre com’ des/ bureaux paysagers !
C’est pour décloisonner/ qu’i disait, l’air chafoin.
Que nenni c’était pour/ espionner ses voisins.
Heureusement pour nous/ ce projet capota.
L’inertie triompha/ chacun resta chez soi

Mais je parle, je parle ; passons au turbin !
A tous un grand merci ! Et bon vent pour demain



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