Belle-Ile, octobre

Collège Petit Val, Sucy-en-Brie
Classe de 6è6

La tache de Mme Poupitou

I.

On attendait le professeur devant le bâtiment de la Châtaigneraie. Au bout de vingt bonnes minutes, toujours personne. La sortie est annulée. Anaïs et Francis, deux élèves, remarquent alors un animateur qui rentre discrètement dans l’établissement. Anaïs observe une tache rouge sur son manteau. Elle fait part de ses soupçons à Francis :
 Pourquoi ce retard ? et pourquoi cette discrétion ?
 A mon avis, il est allé manger un hot dog, répond le garçon.
 Et cette tache sur son manteau ?
 Bah, sans doute du ketchup qui a coulé…
 T’es débile ou quoi ?
 Non je blague.

Francis est grand, dodu, blond aux yeux bleus et aux taches de rousseur, quelques poils aux jambes, genre intello.
Anaïs est grande aussi, fine, brune aux yeux verts, allure sportive.

Les deux jeunes gens viennent juste d’arriver sur l’île à bord du bateau « La vacancerie », conduit par le capitaine Haddock.

DESSIN N°1 : portraits Anaïs/Francis

Ils interrogent les animateurs.
 La dernière fois qu’on a vu Mme Poupitou, la prof, dit l’un d’eux, elle semblait attendre dans l’entrée.
 Est-ce qu’on peut aller voir alors les caméras de surveillance ? demande le garçon.
 Désolé les enfants, déclare un animateur, c’est une affaire d’adultes.
Et il part.

 Qu’est-ce que tu penses de cette affaire ? s’étonne Anaïs. C’est flippant, non ? Ça fait peur !

Plus tard, les deux jeunes gens voient une ombre passer entre les bâtiments, ombre qui porte quelque chose mais on distingue mal. Sur place, au sol, ils repèrent des traces de pas, des pas à trois doigts !

Le soir, durant le repas, personne ne parle, même les élèves se taisent. Tout le monde est angoissé.

La nuit suivante, Anaïs rêve d’une armée de chenilles urtiquantes qui montent vers elle en lui disant : « Nous avons mangé ton professeur et toute ta classe ! »
Elle sursaute, terrifiée, et se réveille.
Francis, lui, s’imagine en train de traverser des couloirs sombres car il entend un cri, dans les étages, puis il voit quelqu’un menotté jeté dans une voiture, mais c’est un cauchemar.

Tous deux réveillés, ils se rendent alors dans la salle de surveillance grâce à une clé que Francis a volée aux animateurs. Ils regardent la vidéo ; passe sur l’écran une rapide silhouette qui enlève la prof.
 Oh, dit Francis, c’est un….
 Non, le coupe la fille, c’est un…
Un quoi ? Mystère.

Le lendemain, Mme Never, la prof principale, annonce d’un air affolé :
 Mme Poupitou n’est toujours pas présente, je vais donc la remplacer pour la balade sur la côte.

Sur le chemin, Anaïs et Francis se posent des questions sur cette disparition.
 Peut-être qu’elle s’est faite enlever par une licorne ? demande la jeune fille.
 Une licorne ? pourquoi pas un cochon vert ? se moque le garçon.

Après trente minutes de marche, ils arrivent à Port Coton. Soudain, au bord de la falaise, on voit un collier, semblable à celui de Mme Poupitou.
Anaïs observe longuement le bijou.
 J’ai bien peur que ce soit celui de la prof ! dit Anaïs. Mais qu’est-ce que cela signifie, Francis ?
 Je t’avoue que je trouvais cette prof étrange. On aurait dit qu’elle avait quelque chose à se reprocher !
 Cette histoire ne nous regarde pas, réagit Anaïs.

Ils continuent la marche le long de la falaise. La fille prévient le garçon :
 Tu viens de faire tomber ton téléphone.
Il le ramasse.
 Mais…mais, ce n’est pas le mien, c’est celui de la prof.
Sur l’écran, un message s’affiche : « Tu n’as pas oublié notre accord sinon… »

II.

« Quelle piste va-t-on choisir ? demande Anaïs.
 Inspectons encore le téléphone de Mme Poupitou.
Ils trouvent plusieurs S.M.S. qui se terminent par un A majuscule.
 Mais que signifie ce A. à la fin de chaque message ? demande le garçon.
 C’est sûrement une signature, répond Anaïs. Peut-être que c’est M. Amandin, le prof de sport ?
 Ou encore Mme Adibou, la surveillante ? Ou Adam, mon copain, ajoute la fille.
 Non, je ne crois pas.

 Et si on allait voir du côté de la grotte de l’étoile ? propose Anaïs.
Un animateur les avait informés en effet qu’un méchant korrigan y habitait.
Sur le chemin, la fille explique à Francis qu’elle a fait des recherches sur les habitants de la grotte, ces korrigans. C’est leur lieu de vie, dit-elle.
 PARFAITEMENT ! dit alors une voix qui a l’air de venir du fond du gouffre. Cela fait sursauter les deux amis.
 Vous avez parfaitement raison, dit un drôle de personnage, un être de petite taille, trapu, biscornu, mais je n’ai pas enlevé votre pro.., votre pro…, votre professeur, vous m’avez compris ?

DESSIN N°2 : un korrigan

Pourtant, dans la grotte, ils voient des objets d’une couleur inhabituelle. « Ça me rappelle le vêtement de la maîtresse » pense Anaïs.
De fait il y a là le manteau et l’écharpe de Mme Poupitou.
 Ce n’est pas moi, je n’ai rien fait de mal, répète le korrigan.

Ils rentrent à l’établissement La Châtaigneraie. En marchant, Anaïs manipule le collier, trouve une petite mollette. Le collier s’ouvre. Dans le collier une petite photo. Sur la photo, on voit une famille avec deux petits garçons, la prof, Mme Poupitou, et à côté… l’animateur, Alexandre. Et sur la photo encore, une énorme tache rouge.

 L’animateur me semble un bon suspect, dit Francis.
 Oui mais on commence par où ?
 Par sa chambre, la 222.

A la Châtaigneraie, Anaïs court jusqu’à sa propre chambre et elle cache le téléphone, le collier et la photo au fond de son tiroir.

Le soir, quand tout le monde dort, elle envoie un message à Francis. Rendez-vous dans cinq minutes devant la porte de l’animateur, écrit-elle.

Le garçon, cette nuit-là, ne rêvait pas de licorne, rose ou verte, ni de cochon vert ou bleu qui vole, mais de frites, oui des frites géantes et de glaces à la fraise explosives !!
Réveillé par Anaïs, il ramasse dans l’entrée un objet brillant. « Qu’est-ce que c’est que ce machin bidule truc ? » se dit-il quand il comprend que c’est la clé. La clé de la 222 !

Francis pense que toute cette histoire est une question d’argent. Mais dans la chambre 222, il n’y a personne, aucun objet. Juste un message sur le lit : « Rendez-vous au phare ! »

Francis propose alors à son amie de regarder à nouveau les caméras de surveillance. Ils s’aventurent dans les locaux sombres et crasseux de l’établissement, visionnent des vidéos d’une qualité médiocre, et retrouvent sur l’écran Alexandre, l’étrange animateur qu’ils avaient croisé avec une tache rouge sur les vêtements. Alexandre dont le nom commence par un A.

 Oui, c’est bien lui ! crie la fille. C’est lui le coupable !
 Anaïs, s’exclame soudain Francis, on a tout faux. N’oublie pas que le suspect, celui qu’on a vu traverser la cour, il a trois doigts de pied !
 Oh non, s’énerve la fille, j’en ai marre, c’est impossible.

III.

Ils se rendent donc au phare.
 Tu crois que c’est une bonne idée ? demande Anaïs.
 Mais oui, t’inquiète ! répond Francis.
Mais plus ils s’approchent du lieu de rendez-vous, plus l’inquiétude monte.
Sur le chemin, Anaïs entend des bruits suspects mais elle ne dit rien à Francis pour ne pas le déranger.
Au loin, une haute silhouette se découpe dans la brume : le phare. La porte est entrouverte.
 Tu ne trouves pas ça étrange ? dit la fille.
 Entrons, on en aura le cœur net.
Ils montent les marches pas à pas.

Tout en grimpant, les deux enquêteurs discutent de l’affaire de Mme Poupitou.
 Pour moi, dit la fille, c’est Alexandre qui a amadoué le korrigan, qui s’est servi de sa solitude, pour qu’il enlève Mme Poupitou.

 Mouais, répond le garçon. Moi je crois qu’Alexandre est le fils de Mme Poupitou ; elle l’a abandonnée car elle était trop jeune, elle l’a mis dans une famille d’accueil. Il a appris qu’elle allait à Belle-Ile tous les ans avec sa classe, il est devenu animateur ; il l’a attrapée quand elle dormait pour l’enfermer ici.
 Et le korrigan ?
 C’était un hologramme.
 Et le pied aux trois pattes ?
 Un moule qu’il a fabriqué.

DESSIN N°3 : le PHARE

Ils continuent à monter l’escalier.
 Non, non, non, reprend la fille qui, à ce moment-là, pense plus aux pokemons qu’à l’enquête. Je crois plutôt à ces histoires de licorne et de cochon bleu qui vole.
 Tu délires ! réagit Francis.
 Pas du tout, je crois qu’on ne saura jamais qui a enlevé la prof. Peut-être Alexandre, peut-être pas…

 J’ai une autre idée, dit le garçon. A mon avis, Alexandre et Mme Poupitou étaient amoureux, et heureux. Un jour Alexandre a eu un accident de voiture, il était drogué. Il y a eu une victime. Il a eu un an de prison ferme. Ils ne se sont plus jamais revus depuis. Elle a demandé le divorce. Alexandre est toujours amoureux, et jaloux.

 N’importe quoi, déclare la fille. Moi je crois que la prof a une sœur, très malade, qui habite dans une petite maison tout près d’ici, et elle l’a rejointe. Quant à l’animateur, ben oui, il n’a que trois doigts de pied.

 Tout ça n’est pas très sérieux, s’énerve le garçon. Pour moi, c’est le korrigan qui a attrapé la prof. Elle s’est laissée berner comme un papillon devant une lumière. Pourquoi ? Parce qu’elle avait compris sa machination, sa façon de faire échouer les bateaux sur la côte pour voler la cargaison.

Tout en parlant, ils arrivent au sommet du phare. Là, on entend, le bruit des vagues, des portes qui grincent…et puis un bruit de moteur. Celui d’une moto. Une moto rose. Ils distinguent mal le conducteur ; derrière il y a Mme Poupitou ! Quelle affaire ! L’enquête s’arrête.

Deux mois plus tard, au collège Petit Val, arrive Mme Poupitou. Personne ne s’y attendait. Elle déclare qu’elle s’est mariée avec Alexandre ; qu’elle ne souhaite pas expliquer pourquoi ni comment. Anaïs et Francis se regardent et comprennent : la fameuse lettre A. qui terminait toutes les lettres, cela venait de… Amour !

Fin

Classe de 6è3

Une mystérieuse disparition

I.

“Mais où est-il passé ? se disent Martin et Lola. Matéo en effet a disparu. C’est vrai que c’est un enfant pas comme les autres, Matéo. C’est un petit garçon aux cheveux châtain, timide, bizarre. Il ne trouve pas sa place auprès des autres enfants. Et depuis quelque temps, on le sentait tourmenté.

Martin et Lola sont les deux délégués de la classe 6è3. Ils se trouvent à Belle-Ile, en classe de découverte, avec leur collège. Martin est blond, de taille moyenne, musclé ; Lola est petite, brune, intelligente.

Sur le bateau qui les amenait sur l’île, un vieil homme avait prononcé une sorte de malédiction, avant de disparaître en un éclair : “Ne vous approchez pas de l’île ou alors la mort vous dévorera…” Mais ils l’avaient pris pour un vieux fou.

Pendant la traversée, ils s’étaient “éclatés” dans la piscine, sur le toboggan, ils avaient joué à cache-cache, sans plus penser à ce bonhomme.

A Belle-Ile, la directrice leur dit : “ Je vous informe qu’aujourd’hui, notre cher Matéo a disparu…”
Lola repense à ce garçon. Elle sait que pour lui, le moment de la rentrée a toujours été dur ; il pensait aussi que ses camarades de classe étaient jaloux de lui. Aurait-il fugué ?
La jeune fille décide de s’occuper des affaires de Matéo. Dans sa chambre, sous son oreiller, une lettre, où l’on peut lire :
“Je ne me sens plus aimé, je pars à jamais…”
Avec l’aide de Martin, Lola veut mener l’enquête.
 Comment on fait ? dit le garçon.
 Il faut tout dire au professeur.
 Non, jamais de la vie. Nous allons enquêter nous-mêmes.

DESSIN N°1 : le griffon

La nuit qui suit, Lola dans sa chambre, fait un rêve où il est question de grotte, d’un monstre qui ronfle ; ce monstre portait un bec et des ailes d’aigle, un corps de lion, une queue de serpent. Un griffon ?!
Elle se réveille.
De son côté, Martin rêve qu’il suit un alignement de peaux de banane ; il a l’impression de se lancer dans une aventure qui va bouleverser sa vie ; et il finit par glisser sur une de ces peaux. Clac ! Il trébuche et se réveille à son tour.

Le lendemain, les deux jeunes gens jouent ensemble sur la plage quand ils aperçoivent une chose étrange, enfoncée dans le sable sec et chaud. Une chaussure, une chaussure de leur ami Matéo ! Et dans la chaussure, un message codé : “Rendez-vous à minuit au café abandonné de l’avenue du Général. La porte sera ouverte.” Et suivait cette phrase étrange : “ Le reflet de l’expresso vous guidera.”

A l’heure dite, ils se rendent au café. La porte est ouverte, ils entrent. Le café est vide. Il y a plein de caméras. Les vitres sont brisées.
 On a été trompés, dit Lola. Il n’y a rien ici qui puisse nous aider.
 J’ai une idée, réagit Martin. Peut-être qu’on trouvera des indices en regardant les videos de surveillance.

Ils trouvent les vidéos. On voit une personne cagoulée qui raconte des histoires de criminel sans pitié, de cris, de bagarres. Derrière lui, il y a un tableau, et sur le tableau on voit une carte d’identité.

Est-ce que c’est Matéo qui parle sur l’écran ? Est-ce que c’est une piste qui peut les aider à le retrouver ?

II.

On a vu Matéo dans la citadelle. Lola et Martin décident d’y aller.
Sur le chemin, les deux jeunes gens se disent que Matéo est peut-être victime de la malédiction du vieil homme, l’autre jour, sur le bateau.
Comme la citadelle est une vraie forteresse, ils ont beaucoup de difficultés pour y accéder. Déjà il leur faut trouver l’entrée de ces vieux remparts. Ils passent sur un pont-levis, traversent un tunnel. Ensuite, d’un côté c’est une impasse, de l’autre il y a un passage. Les voici dans le passage, toujours personne en vue. Mais parterre, le pull bleu de Matéo. Comment a-t-il pu arriver ici ? Un chien passe, il renifle le vêtement et les conduit devant l’entrée de la prison des sorcières. La fameuse prison des onze empoisonneuses. Est-ce que Matéo se trouverait tout seul là dedans ?

DESSIN N°2 : la citadelle

Là ils remarquent une ombre :
 Martin, c’est quoi ? dit Lola.
 Je ne sais pas, regardons de près. Aaah, regarde, du sang !
 Ah, oui, c’est vrai ?
 Non, non, ce sont des traces de peinture rouge.
 Heureusement, j’ai eu peur !

En sortant de la prison, ils voient la poudrière, puis Martin trébuche sur un portable.
 On dirait le téléphone de Matéo.
 Oui, et il y a même Matéo sur l’image.

Le chien est toujours là ; il déterre un papier sur lequel on peut lire : “ Ce n’est pas ici que se cache votre fugueur, allez plutôt dans une grotte vers la plage. ”

Fatigués, les enfants se reposent. Ils rêvent de retrouver Matéo. Peut-être que ses parents ont déménagé ? pense Lola. Peut-être qu’il n’y a plus personne chez lui ? Peut-être aussi que ses voisins ont changé d’attitude avec sa famille ?

 T’imagines si on le trouve et qu’il nous dit : “Je me sens bien ici, arrêtez de me chercher !” Qu’est-ce qu’on fera alors ?

Voilà les deux jeunes gens remplis de peur. Ils reprennent leurs recherches, y compris sur Internet. Et ils apprennent qu’il existe, près d’une salle de sport, un souterrain, sous la citadelle Vauban. Pour y accéder, il faut manipuler une petite noisette cachée, un clic retentit, un passage s’ouvre. Ils entrent dans le tunnel.

III.

A l’autre bout du tunnel, Matéo est là.

Mais il faut dire, auparavant, que la traversée du tunnel a été compliquée. Pourtant Lola et Martin ne manquaient pas de courage et n’abandonnèrent pas.
 J’ai peur des pièges ! disait Martin.
 N’importe quoi, on n’est pas dans un film d’action, répondit la fille.
 Mais j’aime bien les films d’action.
 Oh, là, là, que tu es bête !

Un moment un rugissement retentit et surgit le griffon. Il chargea les enfants. Fou de rage, il agrippa Lola qui criait de toutes ses forces : “Au secours ! Au secours !”
Martin, terrifié, récupéra une épée légendaire et on assista à deux heures de combats acharnés que le jeune garçon gagna. Il sauva Lola.
Plus tard se dressa devant eux un homme mystérieux qui les provoqua : ” Si vous voulez récupérer Matéo, vous devez me défier ! ” Heureusement, les enfants avaient avec eux des boîtes de poudre et “Bing ! Boum !”, ils firent sauter l’obstacle.
Ensuite, ils durent traverser le laboratoire d’un homme nommé le “vieux fou”. En passant par une bouche d’aération, ils accédèrent à une salle mystérieuse, trouvèrent une clé, tombèrent sur une porte. Par chance, c’était la bonne clé !

DESSIN N°3 : LOLA et MARTIN

A l’autre bout du tunnel, donc, Matéo est là. Il a maigri, s’est coupé les cheveux, et il ne s’habille plus comme avant.
 Matéo, c’est toi ?
 Laissez-moi tranquille, dit celui-ci.
 Ah, comme je suis heureuse de te retrouver, dit Lola. Ça fait trois jours qu’on te cherche ! Allez, reviens avec nous !
 Tu parles, j’ai pas d’amis !
 Mais non, tu n’es pas tout seul !
 Non, tout ça ne sert à rien, je ne viens pas.
 Quand même, ta famille doit être inquiète, tu ne vas pas dire que tu t’en fiches ?

Alors Matéo commence à pleurer et Lola lui donne un mouchoir.
 Merci, dit le garcon.
Il est heureux de voir que Lola et Martin se sont battus pour le retrouver. Finalement, il décide de repartir avec ses vrais amis. Plus tard, il retrouve le groupe d’élèves. Tout le monde applaudit. “C’est vrai, on ne pouvait pas se retenir”. Tous partagent un goûter et deviennent les meilleurs amis du monde. Matéo leur adresse à tous un immense merci.

Il paraît que dix ans plus tard, Martin et Lola se fiancèrent et eurent beaucoup d’enfants.
FIN



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