Marie-Laure Petit

Je termine le roman,

 

un peu de mal à me faire aux ruptures de teps, pourtant connues comme pratiques littéraires

 

J’ai apprécié le style sans fioriture, direct, au mot juste, phrases courtes, mais qui met en scéne, et en personnages

 

J’ai surtout apprécié de me retrouver à Schirmeck : mes arriéres grands parents maternels sont nés là, à la fin du 19eme, et travallaient dans le textile : fleuse, tiserrand, et je ne sais plus ques métiers sur les actes d’état civils,

 

petites gens, du temps où les petites gens faisaient la ville,

 

partis, un jour des années 1880 ou 1890, pour travailler de l’autre coté du Donon, dans les Vosges, appelés par celui alsacien ou allemand qui investissait ses capitaux et son autorité,

 

A la recherche de ces quelques racines, histoire de mettre un visage sur ma famille maternelle décimée par la tubercuose, très tôt, avant même que l’idée de me fabriquer ne germe,

 

j’étais allée au mémorial : je voulais comprendre ces multiples passages des alsaciens, d’une nationalité àl’autre,

 

Voilà, ton roman enlevé, m’a refait voyager,

 

durement,

 

Je crains beaucoup, que la catastrophe soit d’abord sociale, plutôt qu’écologique,

 

bref, j’ai aimé

 

je vais voir si tes livres paraissent en poche, les grands formats entrent mal dans mes rayonnages

 

Bonjour à tous les deux,

 

Marie-Laure (Petit), Argentat, Corrèze



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